Princesse101

Tout tout tout, vous saurez tout sur les cupcakes

Afin de nous ôter nos complexes
Ô gué, ô gué
On nous donne des cours sur les cakes
Ô gué, ô gué
On apprend la vie secrète
Des angoissés d' la recette
Ou d'celles qui trouvent très joli
De montrer leur clafoutis
Des blogueuses très sympathiques
Nous en expliquent toute la mécanique
Elles disent faut fair'attention aux décors
Ô gué, ô gué
Des dessus des cupcakes d'abord
Ô gué, ô gué
Elles nous livrent leurs secrets
On va p' têt' enfin d'viner
Quels sonts ces gâteaux sacrés qui ont tant de pouvoir
Et sans hésiter elles nous dessinent
Les p'tits cakes et leurs décors sublimes


Tout tout tout
Vous saurez tout sur les cupcakes
Les vrai, les faux
Les laids, les beaux
Les durs, les mous
Au sucre doux
Les gros touffus
Les p'tits joufflus
Les grands glacés
Les p'tits rosés
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur les cupcakes

Bon voilà, j'arrête, mais je n'ai pas pu résister, merci Pierre:)

 

La vraie note commence ici en fait :

 

 

Ayant été récemment complètement ensorcelée par une série de photos sublimissimes de la photographe Florence Akouka (son Facebook et son Twitter)  trouvée sur le site de beauté jesuisunique, alliant avec brio des rouges à lèvres et des cupcakes (une sorte d'extase), mon intérêt pour les cupakes a été ravivé en flêche...

 

Et j'ai donc découvert quelques blogs que je voulais partager ici, pour les plaisir d'apprendre et le plaisir des yeux : 

 

1/ Le très sympathique Blog/Boutique Made in Cupcakes, tout nouveau tout beau.

2/ Le Cupakes.fr, avec blog, boutique etc

3/ Elo les Cupcakes (sur TypePad^^)

4/ Cupcakes and co avec des superbes photos

5/ Sugar Daze (anciennement Little Miss Cupcakes)

 

Alors, bon, oui, j'ai menti, vous ne saurez peut être pas tout tout tout sur les cupakes à la fin de cette note, mais vous en saurez assez éviter [peut être] que nous finissions toutes chez Picard (je sais, c'est pas gagné).

 

[Allez, faites moi vous plaisir, courrez voir les photos de Florence Akouka]

Il faut instaurer d'urgence la Fête de la Maison

Chères compatriotes, (si tu es un homme n'hésites pas à te sentir concerné)

 

Sachant qu'un aspirateur Dyson vaut aujourd'hui le prix d'un sac Louis Vuitton,

Sachant qu'une machine Nespresso vaut aujourd'hui le prix d'un Carré Hermès,

Sachant qu'un robot Kitchenaid vaut aujourd'hui le prix d'une montre Mauboussin,

Sachant qu'une machine à laver vaut un lissage brésilien, ou même japonais, ou même les deux,

 

il devient urgent, pour ne pas dire impératif, dans ces conditions, d'instaurer dès à présent une Fête de la Maison, afin de ne pas nous retrouver pour Noël avec une succursale de Darty pour maman, youpiiii, au lieu d'une éventuelle magnifique étole Dior, sic. 

 

A la Fête de la Maison, qui pourrait tomber par exemple au mois d'avril, afin de se placer entre la journée de la femme, la fête des grands mères et la fête des mères, serait alors le haut lieu de l'électroménager (certes toujours très utile), nous épargnant à nous toutes, chères compatriotes, de voir nos cadeaux de Noël et d'anniversaire nous filer sous le nez pour le bien de la communauté.

 

Hein ? 

 

 

PS: Liste subliminale, faite. 

Les nouveaux esclaves de l'exigence

C'est nous. Nous sommes entrés dans l'aire de l'exigence, et qu'on le veuille ou non, et nous sommes ses nouveaux esclaves. Vie perso, vie pro, tout y passe. Et on ne se passe rien. La cadence ne va que s'accélérant, les outils mènent le pas, et nous, on suit le rythme.

 

Ne pas répondre à un mail pro dans les 4 heures top chrono relève de l'inconscience, voire de  l'hérésie. Ne pas répondre à un mail perso dans les 24h top chrono relève de l'affront, voire de la déclaration de guerre. L'oubli est une faiblesse devenue inadmissible dès sa première récidive. La paresse n'est plus de ce monde, paix à son âme, et ne subsiste plus que dans nos rêves les plus fous. L'apparence physique et l'apparence en générale, même celle du miroir n'est pas en reste. Etre un parent et conjoint parfait relève de l'exigence banale quotidienne, mais tous les jours grimpe inlassablement au niveau de l'inaccessible étoile de Brel. En 24h, nous accomplissons souvent ce que nos parents faisaient en une semaine, finger in ze nose. Nos enfants grandissent dans cette course, et je n'ose imaginer quelle sera la cadence que leur génération s'imposera.

 

En attendant, moi je vous dit, profitons encore d'emprunter la file stationnaire droite de l'escalator de temps à autre, c'est bien la seule petite folie que nous pouvons nous accorder ...  tant que notre conscience fera la morte ;)

 

newsletter addict : mais pourquoi je fais ça !

Je suis une newsletter addict les amis, c'est grave.

 

Désespéré même. Je m'abonne plus vite que mon ombre. Mais c'est pas de ma faute, je vis dans une société de sur-information, et je me sur-informe sur tous les sujets qui m'intéressent en tant que femme, ou qui m'intéressent en tant que mère, ou qui m'intéressent pour mon boulot, ou pour ma passion, ou quoi, ou qu'est ce. Tous. ça mange pas d'pain, comme dirait l'autre, et ça abat pas d'arbres, donc bon, l'honneur (de la conscience) est sauf^^.   Sauf ..  que je lolerai moins si un jour il y avait une appli qui sortait et qui disait "dis moi à quelles newsletters tu t'es abonnée, et je te dirai qui tu es" ;) 

 

Ma préférée ? Je crois que j'ai un gros faible pour celle de Michel et Augustin, une NL pas comme les autres :)

 

 

 

 

 

Parodiée dans mon travail par ma fille

Bon, voilà, c'est le début de la fin, je viens de me faire parodier par ma fille de 8 ans .... forcément, quand on bosse dans l'interweb, et que tout est accessible sur youtube.... ça me pendait sous le nez :)

 

L'originale, (moi, au travail)

 

 

 

Encore une, au cas où, 

 

 

 

et la parodie réalisée incognito - ni vu ni connu -  par ma fille  , qui vient de me la brandir fièrement sous le nez .... et comme c'est à mourir de rire et que je suis magnanime, je vous la mets ici, OMG.

 

 

 

ça, c'est fait. 

 

 

 

 

 

Deux films sinon rien

Comme un dimanche soir. En soi, ça ne veut rien dire, comme un dimanche soir. Sauf que oui. Il n'y a qu'un seul autre soir aussi puissant que le dimanche soir, et c'est le vendredi soir. Kif Kif, mais pas pareil.

 

Mon dimanche soir, c'est de la douceur ou de la tendresse, c'est une soupe ou une salade, c'est une couette ou une nuisette, c'est un film ou un livre, c'est un éclair au chocolat ou de la crème chantilly. Le dimanche soir, c'est un soir pour moi, un soir qui arrête le temps, un soir ou il n'y a pas de ménage ou de devoirs, un soir où il n'y a pas de factures ou de boulot. Un soir où on s'occupe de soi, enfin. Le dimanche soir, c'est un bain chaud ou une séance vieilles photos, c'est un moment solo ou un plaisir duo. Le dimanche soir, fini les questions, fini les interrogations, fini les additions, fini les tergiversations. Le dimanche soir, c'est la parenthèse qui donne à la pomme  le goût d'un festin, à la douche le goût d'une thalasso, à la première gorgée de bière le goût d'un orgasme, à la flamme d'un briquet le goût d'un feu de cheminée,  à la banale série télé le goût d'un peplum.

 

Le dimanche soir, c'est mon soir.

 

 

 

La routine, un gros mot ?

On me dit souvent, "je ne sais pas comment tu fais avec 5 enfants !". Oui, c'est vrai. Moi non plus je ne sais pas :)

 

Mais je fais.

 

Parce qu'il faut :)

 

En fait, ma vie est assez huilée, chronométrée, routinée. Ah bien sûr, il y a certaines personnes que seul le mot "routine" horrifie. Pas moi. Il faut bien, l'organisation et la régularité apportent de la sérénité au déroulement des opérations, à la fois aux enfants, mais à moi aussi, c'est sûr. Et je ne m'en plains pas, j'ai appris à me reposer sur cette routine, salvatrice.

 

Bien sûr, l'improvisation est possible, et je lui laisse une petite place .... organisée :) Organiser l'improvisation, pour moi, c'est être à même de savoir dire "oui", sans payer trop cher après. C'est savoir laisser ouverte dans la routine, la porte de l'inattendu.  Et sans l'inattendu, il n'y aurait pas la routine ;)

 

 

 

 

CB News : hello good bye ?

Je viens de lire cette information chez Guim. Elle est de taille et devrait  un interpeller quelques-uns.

via www.yann-savidan.com

Gros coup au coeur, CB News, c'est toute ma jeunesse, mon premier emploi chez DDB, toussa toussa ... (Lu en premier chez mon ami Yann Savidan)

Hellocoton sur TypePad : Comment insérer le bouton "j'aime cet article"

 

Pour insérer le bouton "J'aime cet article" de Hellocoton dans le pied de note sur TypePad, il faut aller dans Habillage > Contenu > Modules > Inclure votre propre html > et copier coller le code qui est dans la suite de note ci-dessous, puis valider :) 

 

Bien sûr, je n'ai pas trouvé ça toute seule, alors merci A Man :D

Et paf le sanglier

Il était une fois, ma marmaille et moi, dans un TGV gaulois, bondé. 

Il était une fois, mon TGV sur les rails, à 10 mn de la Gare de l'Est.

Il était une fois, on était presque arrivés à bon port, à l'heure, pour enchaîner sur le bain, le dîner et les devoirs du dimanche soir. 

Il était une fois, un sanglier qui vivait sa vie, non loin des villages gaulois.

Il était une fois, ce sanglier qui a décidé de traverser les voies ferrées gauloises.

Et paf le sanglier. 

Et paf 2h de retard. 

Et paf, désolée le sanglier, tu ne finiras pas au menu du festin gaulois, mais dans les annales de la leçon numéro 234 sur "savoir gérer les imprévus dans la vie", désormais acquise par la marmaille.