Princesse101

Talk Dirty, la chanson du dimanche

Gravity : ce que j'en ai pensé, avec du spoiler inside

Vu que je dois probablement être la dernière personne du territoire de l'internet mondial qui n'avait pas encore vu Gravity, je pense que je peux me permettre à titre de revanche une petite note avec du spoiler inside :) En gros, j'ai bien aimé le film mais surtout, j'ai bien lolé. A deux exceptions près. 

 

 

Primo, l'arnaque Clooney. Grosse arnaque sur le casting alléchant. Toi, digne femme des années 80 dopée aux hormones Clooney d'origine -pas celle du Clooney de Nespresso, mais celles d'Urgences de 1994 steuplé-, tu te dis devant l'affiche, Clooney-Bullock, ouais pas mal, why not, ça le fait. Erreur fatale. Clooney, t'en n'as qu'un misérable aperçu ! Remboursez ! Il meurt de suite ! Et même pas une mort digne où t'as le temps de verser ta larmichette pendant les adieux déchirants. Rien ! Queud ! Tu crois que tu vas le revoir, puisque t'as Bullock qui lui promet envers et contre tout qu'elle reviendra le chercher ! Ce qu'elle ne tente même pas. Et toi, pauvre quarantenaire feu in love de Dr Ross, t'attend tout le reste du film que Clooney repointe ses fossettes en vain. Pouah. 

 

Deuxio : l'Ovni Bullock. T'as 50 ans et t'as pas le corps de Bullock ? Non mais allo quoi. Mais kesskisspass ? Elle a non seulement l'air rachitique dans le film, mais en plus elle a le visage tiré au max ! Je dis why ? T'es pas sérieuse Sandra. OK t'as peut être pas eu 5 enfants, mais t'as 50 ans et une belle carrière ! Assume ton âge ! Vis le pleinement ! Quel est l'intérêt d'en paraitre 20 ? T'as déjà eu 20 ans, c'est fait ! Bref, ça me dépasse. C'était vraiment abuser. 

 

Le moment Lol du film : La scène quand même extraordinaire de lol, c'est quand elle (donc Sandra Bullock, donc la seule actrice du film) se jette dans le vide intersidéral de l'espace hors du Soyouz à 573 km heure , sans oxygène, sans mousketon, rien, et qu'elle saute, vole, gravite, peu importe à ce stade, à l'aide d'un extincteur, et que grâce à ça, elle arrive à se projetter vers la station chinoise TianGong qui elle même tourne autour de la terre à 765 km/h. Non mais lol. C'était à mourir de rire. C'te Mc Guyver de l'espace cette Sandra :) J'ai adoré. Trop forte. 

 

La prouesse du film : elle restera technique avant tout. L'espace, et ses mouvement de rotation à l'infini, on y croit vraiment. 

Amazonia, le film documentaire de Thierry Ragobert

C'est une pure merveille, un petit joyau amazonien qui arrive dans les salles mercredi : Amazonia de Thierry Ragobert. J'ai eu la chance d'assiter à l'avant-première, grâce à Natura Brasil, qui est partenaire du film au Brésil, et je peux vous dire qu'il faut absolument aller le voir ! (Ne serait ce que pour réaliser que vous ne connaissez pas la plupart des noms d'animaux que vous y verrez .... et je ne parle même pas des plantes .... ! )

 

 

 

 

En gros, on en prend plein la vue pendant 1h23, des paysages grandiose, des animaux incroyables, des plantes majestueuses... le tout mis en scène grâce à un petit singe craquant que l'on suit dans ses aventures. Le film est sans paroles, et c'est donc la musique et les bruits véritables qui portent toute l'ambiance.  Bravo au réalisateur et à son équipe. 

 

 

 

 

Je vous conseille de télécharger et lire le dossier de presse : il est splendide. 

Téléchargement Amazonia-dossier-presse

 

 

 

[Lecture] Les Rats de James Herbert

Après avoir fini la méga saga de Raymond Feist, La guerre de la faille, je viens de terminer une petite trilogie, d'un tout autre genre. L'horreur. Les rats, le repaire des rats, et l'empire des rats : ce sont les trois titres de la trilogie de James Herbert, écrivain d'horreur dont je vous avais déjà parlé là. 

Comme son nom l'indique, c'était horrible. Je veux dire génial à lire, comprenons nous, mais horrible. Un tord boyau. Un film d'horreur en livre. Je lole maintenant, mais j'ai fait des grimaces dans le métro en imaginant les mots que je lisais. 

 

Le pitch est simple, et la trilogie n'est que trois "épisodes" d'un même film d'horreur : imaginez un monde, (enfin, surtout Londres heureusement ^^), infesté de rats mutants géants, mangeurs d'homme. La cata. Beurk.  A lire, mais seulement si vous n'êtes pas encore traumatisé(e) par les rats :D 

 

Pour un petit résumé amuse-bouche, j'en ai trouvé un excellent ici. Bon Ap'

 

Bilan après 2 ans d'utilisation : le Kindle m'a sauveR

Je peux oublier mes clés à la maison, sur un malentendu. Il m'est arrivé d'oublier mon portable, bien branché à sa prise. Il m'arrive aussi d'oublier mon Navigo pendant un changement de sac. Mais jamais au grand jamais, je n'ai oublié mon Kindle. 

 

Je ne m'en sépare ja-mais. Ja-mais. Je le dégaine à la moindre occasion, dans les transports ou dans le fond de mon lit. Je l'utilise pendant quelques minutes en montant l'escalator. Ou des heures durant, jusqu'au plus profond de la nuit. 

 

J'ai le kindle le plus simple, non tactile, le même depuis octobre 2011 (ok presque 2 ans) , et il est quasiment intact, à part quelques rayures d'usure sur la coque. Increvable. Je ne regrette pas cet achat, qui est devenu pour moi un essentiel, un incontournable dans ma vie. 

 

Pour être honnête, je n'ai plus une seule étagère de libre à la maison pour continuer à acumuler des livres, et je n'ai pas une seule minute dans ma vie de dingue pour faire des allers retours dans une bibliothèque. Le Kindle m'a sauveR.

 

L'ebook est ma nouvelle valeur sûre. Oubliées, mes interrogations sur le "plaisir du papier". Fini mon vieux débat matériel sur "l'objet livre" . Intacte, ma soif de lire et assouvi, mon plaisir de lecture. Le prix des ebook varie, comme pour les livres papier. Il n'est pas forcément moins cher, sauf dans le cadre de promotions, dont je profite allègrement. 

 

Depuis le mois de mai 2013, le lis une des plus longues sagas de Fantasy que j'aie lues jusqu'à présent, écrite par Raymond Feist, La guerre de la Faille. Et je me régale. Heureusement que ce sont des ebooks, car je n'aurai jamais eu la place de les empiler chez moi. Cela représente déjà 22 tomes lus, il en reste 7, et ça ce n'est que depuis le mois de mai 2013, je vous laisse donc deviner combien de bouquins cela aurait réprésenté en 2 ans de lecture (oui je sais je lis trop) !  

 

Déjà lus, 22 tomes : Merci Wikipedia pour cette preuve par copié collé des tomes 

Les Chroniques de Krondor (La Guerre de la faille) : 

Pug l'apprenti 

Milamber le mage 

Silverthorn 

Ténèbres sur Sethanon

La Trilogie de l'empire : 

Fille de l'empire 

Pair de l'empire 

Maîtresse de l'empire

 
(Legends of the Riftwar) : 

(Honoured Enemy) 

(Murder in LaMut) 

(Jimmy the Hand)

 
Le Legs de la faille : 

Krondor : La Trahison 

Krondor : Les Assassins 

 Krondor : La Larme des dieux 

Les Nouvelles Chroniques de Krondor (L'Entre-deux-guerres) : 

Prince de sang 

Le Boucanier du roi

La Guerre des serpents : 

L'Ombre d'une reine noire 

L'Ascension d'un prince marchand 

La Rage d'un roi démon 

Les Fragments d'une couronne brisée

Le Conclave des ombres : 

Serre du faucon argenté 

Le Roi des renards 

Le Retour du banni

La Guerre des ténèbres : 

Les Faucons de la nuit  => En cours de lecture

 

Reste à lire (plus que) 7 tomes (snif): 

La Dimension des ombres 

La Folie du dieu noir

La Guerre des démons : 

La Légion de la terreur 

La Porte de l'enfer

La Guerre du chaos : 

Un royaume assiégé 

Une couronne en péril 

La Fin du magicien

 

 

Aujourd'hui, le Kindle "basique" vaut 79 € chez Amazon.fr 

 

 

Manuel Gyo, artiste : énorme coup de coeur

Les découvertes sont souvent sous notre nez, et on peut passer devant sans les voir pendant des semaines, puis un jour, on ouvre les yeux et PAF. Enorme coup de coeur.  Je viens de découvrir quasiment dans ma rue, à la Loft Gallery, un artiste dont les oeuvres sont à tomber par terre ! Magnifique, j'adore : introducing Manuel Gyo. 

 

Tout est dans le détail, tout est en couleur, mots formes, symboles, c'est travaillé et parlant, gai, moderne et vivant. Des détails de deux des peintures de Manuel Gyo, pris ici et ici : 

 

 

 

 

 

Quelques lignes de sa bio, prises ici : 

 

"Je suis un artiste autodidacte. J’ai commencé la peinture à la maternelle comme tout le monde … et ne me suis jamais arrêté.
Je suis parti à 20 ans à new york où j’y ai étudié le graphisme et l’art de l’acteur pendant 3 ans tout en étant assistant décorateur sur des shootings de photos de pub. J’ai réellement commencé à peindre la-bas … à Brooklynn.
En 1993, j’ai travaillé à la fondation Cartier à Jouy en Josas avec Jean Michel Othoniel et CESAR puis à paris en 1994 avec jean Berthold dans son atelier.

Dans mon travail de peinture, j’utilise des techniques vraiment mixtes, comme les collages de papiers, de scotches, de sculptures faites en pâte à modeler ou filmo, des tissus, des pochoirs..., Mélangeant les bâtons d’huile, la peinture pour textile, l’acrylique, les feutres, les crayons de couleurs, de papier, les bombes aérosols… Mon art est essentiellement narratif mélangeant des couleurs très vives très joyeuses ainsi que des matières. J’utilise également la puissance du verbe qui me permet de raconter des histoires, de fixer la mémoire. C’est une peinture qui se veut très Yang, très positive, très « love », très rigolote avec beaucoup de textes à lire quand on se penche de plus près sur les œuvres.
Dans chaque œuvre il y a un ou plusieurs chiens géométriques, « les Dogs ». Ce sont comme de petits dieux messagers bienveillants et protecteurs diffusant un message unique : « LOVE ».
J'ai commencé à dessiner mes dog's géométriques, sans races, et de toutes les couleurs en 1989, au pochoir, sur le bitume noir de Paris et de New York. Ils sont cachés dans de petits endroits secrets … peut-être les avez-vous déjà croisés ou les croiserez vous bientôt ?"

 

Une photo de lui, prise  sur son site : 

 

 

Chapeau l'artiste, dès que j'ai un peu de sous, je craque ! 

 

 

 

Pour voir pas mal de ses tableaux, précipitez vous un de ces quatre à la Loft Gallery, 88 rue du dessous des berges, Paris 13e. Enfin, appelez avant, vu qu'on est en plein mois d'Août ;)

Roman à lire : La liste de mes envies de Grégoire Delacourt

Imagine que tu vis à Arras, que tu tiens une mercerie et un blog sur tes broderies variées. Imagine que tu as un mari et deux enfants, des regrets et des envies, des hauts et des bas. Imagine que tu as passé le cap des rêves fous de la jeunesse et celui de l'acceptation de ta vie telle qu'elle est. 

 

Puis imagine, un jour, tu gagnes 18 millions à Euromillions. Et là, imagine que tu fais la liste non plus de tes besoins, mais celle de tes envies. Imagine. 

 

Ou bien, tu peux lire " La liste de mes envies de Grégoire Delacourt". Un chouette roman mi-doux mi-amer, mi-drôle mi-cruel, qui se gobe en une heure. Une heure pour te dire que finalement, t'es plus si sûre de vouloir gagner. Et ouais, trop fort Grégoire Delacourt. 

 

Un petit passage que j'ai beaucoup aimé : 

"Parce que nos besons sont nos petits rêves quotidiens. Ce sont nos petites choses à faire qui nous projettent à demain, à après demain, dans le futur. Ces petits riens qu'on achètera la semaine prochaine et qui nous permettent de penser que la semaine prochaine on sera encore vivants. "

 

 

Le mot de l'éditeur repris sur Amazon : 

Jocelyne, dite Jo, rêvait d être styliste à Paris. Elle est mercière à Arras. Elle aime les jolies silhouettes mais n a pas tout à fait la taille mannequin. Elle aime les livres et écrit un blog de dentellières. Sa mère lui manque et toutes les six minutes son père, malade, oublie sa vie.
Elle attendait le prince charmant et c est Jocelyn, dit Jo, qui s est présenté. Ils ont eu deux enfants, perdu un ange, et ce deuil a déréglé les choses entre eux. Jo (le mari) est devenu cruel et Jo (l épouse) a courbé l échine. Elle est restée. Son amour et sa patience ont eu raison de la méchanceté. Jusqu au jour où, grâce aux voisines, les jolies jumelles de Coiff Esthétique, 18.547.301 lui tombent dessus. Ce jourlà, elle gagne beaucoup. Peut-être.

 

Star Trek : Into Darkness, de JJ Abrams

Et ouais, je suis allée au cinoche carrément, pour voir Star Trek 2 Into Darkness. Faut dire aussi que j'ai vu absolument tous les Star Trek du monde entier depuis l'origine des temps modernes, et que Leonard Nimoy n'a plus de secret pour moi. Leornard si tu me lis. 

 

Je m'étais bien préparée psychologiquement puisque j'avais revu la veille le Star Trek 1 de 2009 pour me remettre dans l'ambiance de ce bogosse de Zachary Quinto. Je m'égare. 

 

Donc dans Into Darkness, Zachary et l'autre tête brulée de Chris Pine alias Kirk nous entrainent dans une ambiance survoltée. Le rythme est incroyablement soutenu, de l'action tout du long. Magique. 

 

 

 

le site officiel. 

 

Jack le chasseur de géants (Jack the Giant Slayer) de Brian Singer

On a bien rigolé. On a vu Jack le chasseur de géants de Warner Bros.  

 

 

 

En résumé, c'est un peu l'histoire de Jack et les haricots magiques, sauf qu'il y a de méchants géants. Par ailleurs, il faut admettre que Jack est mimi tout plein, et les géants vraiment bien dégueus. Attention, énorme coup de coeur pour Ewan McGregor, une espèce de Jack Bauer du Haricot Magique, un bogosse zéro défaut bourré d'humour. Du bon spectacle bien divertissant en famille. 

 

Le site US du film ici. 

 

 

 

Le synopsis de Warner : "Lorsqu’un jeune fermier ouvre par inadvertance la porte entre notre monde et celui d’une redoutable race de géants, il ne se doute pas qu’il a ranimé une guerre ancienne… Débarquant sur Terre pour la première fois depuis des siècles, les géants se battent pour reconquérir leur planète et le jeune homme, Jack, doit alors livrer le combat de sa vie pour les arrêter. Luttant à la fois pour le royaume, son peuple et l’amour d’une princesse courageuse, il affronte des guerriers invincibles dont il s’imaginait qu’ils n’existaient que dans les contes. L’occasion, pour lui, de devenir une légende à son tour.

 

 

Games of Thrones : en es tu ?

S'ils veulent savoir, qu'ils lisent, c'est G. RR Martin qui l'a dit, et il a bien raison. Pour le moment on rigole comme on peut en attendant la suite en images. Allez go, choisis ton clone : 

 

Tu débarques, tu as toujours un train de retard sur tout le monde, tu crois au prince charmant et au cake au citron, tu aimes les fringues satinées voire obsolètes, tu ne vois pas plus loin que le bout de ton ourlet, mais ton coeur est pur. Tu es Sansa, l'insupportable diamant d'innocence.  

 

Tu as le cou tendu et les épaules droites, même quand le RER freine à bloc. Tu feinds l'indifférence mais tu n'es que calculation, tu sers une cause que toi seul connait avec une foi que toi seul admire. Tu sais qui est le maitre et qui va payer. Tel Jean Marie Messier Maitre du Monde, tu es Tywin Lannister, et fier de l'être.

 

Tu ne payes pas de mine, tu survis dans tous les environnements. Tu es tel le caméléon au bord de la rivière, tel le stagiaire en fin de contrat d'alterance qui veut s'intégrer, tu sais que la vengeance est un plat qui se mange assez froid.  Tu es Arya, le colibri au coeur d'acier.

 

Tu es inflexible et impitoyable, tes raisonnements sont aussi carrés que ta coupe de cheveux, yes we can est ton credo, tu ne recules devant aucun obstable, aucune formule excel, ni aucune conf call. Tu es la femme de la face cachée de Superman. Tu es Brienne of Tarth, maitresse de ta destinée. 

 

Tu ne prends pas de vacances, tu vis sous pression, ta vie n'est qu'un longue suite de répétitions. Tu t'en fous t'es un battant et ton esprit fin et féroce ne pâlit que devant ta determination et ton sens de l'humour. Tu sais prendre du recul en toute circonstance, et tu sais que ce qui compte, c'est ce que tu as, pas ce que tu n'as pas. T'es fan du Cercle des Poètes Disparus.  Tu es Tyrion Lannister, l'increvable. 

 

Tu sais battre des cils et ouvrir le 3ème bouton de ton chemiser. Tu sais croiser les bras et faire bomber ton soutif. Tu es à la délicatesse ce que les bourreaux sont à la cruauté, tu ne sais pas quand ton règne débutera ou finira, tout ce que tu sais, c'est l'Oréal qui te l'a appris :  tu le vaux bien. Tu es Margaery Tyrell, l'insatiable. 

 

 

photo piquée ici.